Piraterie d’anime : comment le Japon et le Brésil ont fermé 16 sites de piratage pour protéger l’industrie

Le Japon et le Brésil ont récemment uni leurs forces pour combattre la piraterie des animés.

Une alliance efficace entre le Japon et le Brésil #

Cette collaboration a abouti à la fermeture de 16 sites web illégaux, qui diffusaient des contenus sans autorisation. Ces actions ont été menées en réponse aux plaintes formulées par de grandes entreprises telles que Toei Animation, Toho et Bandai Namco.

Cette initiative marque un tournant significatif dans la lutte contre la piraterie numérique, secteur qui affecte grandement les créateurs et l’industrie du divertissement. Les efforts conjoints ont démontré une stratégie robuste et coordonnée, essentielle pour adresser efficacement ce problème global.

Impact de la fermeture des sites sur l’industrie #

Les 16 sites web fermés attiraient près de 7 millions de visiteurs chaque mois, ce qui souligne l’ampleur de l’impact de ces plateformes illégales sur l’industrie de l’animation. La fermeture de ces sites représente donc une victoire significative pour les détenteurs de droits et les créateurs d’anime. Cela contribue à la réduction de la distribution illégale et soutient la croissance de canaux de distribution légitimes.

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En redirigeant les amateurs d’anime vers des plateformes légales, on assure non seulement le respect des droits de propriété intellectuelle mais aussi la qualité et la sécurité du contenu consommé. Cela permet également de garantir que les bénéfices générés par les œuvres reviennent à leurs créateurs légitimes.

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La continuation de la lutte contre la piraterie #

La coopération entre le Japon et le Brésil ne s’arrête pas ici. Les autorités continuent de surveiller le cyberespace pour détecter et fermer d’autres sites illégaux. La première phase de leur programme a déjà permis de fermer 36 sites, et l’objectif est de continuer sur cette lancée pour surpasser ce chiffre dans la future.

L’approche adoptée inclut la localisation et la perquisition des installations opérant ces sites illégaux, suivie d’une fermeture rapide et efficace. Cette stratégie proactive est cruciale pour maintenir la pression sur les opérateurs de sites pirates et réduire la disponibilité de contenu illégal en ligne.

Liste des entreprises impliquées dans la plainte :

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  • Toei Animation
  • Toho
  • Bandai Namco
Aspect Détail
🎯 Objectif Réduire la piraterie et protéger les droits des créateurs
🔒 Sites fermés 16 sites avec 7 millions de visites mensuelles
🌎 Coopération Entre le Japon et le Brésil
🚀 Phase suivante Surveiller et fermer plus de sites illégaux

En somme, la fermeture de ces sites de piraterie est une étape essentielle pour assurer la protection et le développement durable de l’industrie de l’anime. Chaque action réalisée renforce le marché légal et contribue à la création d’un environnement où les droits des créateurs sont respectés et valorisés. La collaboration internationale est clé dans cette lutte, et l’engagement du Japon et du Brésil dans ce domaine est un exemple positif pour d’autres nations.

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7 avis sur « Piraterie d’anime : comment le Japon et le Brésil ont fermé 16 sites de piratage pour protéger l’industrie »

  1. Je suis partagé. D’un côté, je comprends la protection des droits, mais d’un autre côté, tout le monde n’a pas les moyens de payer des abonnements.

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  2. Ça va juste rendre les choses plus difficiles pour les vrais fans d’anime qui ne peuvent pas accéder légalement à ces contenus dans leur pays. 😡

    Répondre

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